The Good Girl
Allez le troisième film à la suite with le mot "Girl". Jvous promet que le prochain fait abstraction du mot. Ici il n'est pas question de Zooey Deschanel (Cf l'article précédent) mais de Jennifer Aniston et surtout, j'insiste vraiment sur le surtout JAKE GYLLENHAAL (je n'ai pas fait de fautes à son nom vous remarquerez !!!). Ouais Jake est beau, mais encore... Il est talentueux, et ouais ça vous étonnes hein ! Allez hop j'en ai finit avec ma mini tribute to Jack le Dieu.
The story (of the impossible) : Voila Jenny est Justine, sa vie est merdique, son mari est un fumeur de shit qui prend pas assez soin d'elle. Elle travaille dans un supermarché, pas trop glorieux. Puis arrive un tout nouveau caissier, jeune, mignon mais refermé joué par JAAAAAAAAAAAAAKE. Voilà bon je vous fait le fait en gros, mais il tombe amoureux puis au final Justine se lasse et disons que d'autres événements la force à en finir avec JAAAAAAAAKE. Sauf que celui-ci est un peu dépressif sur les bords, donc bon il est tout triste et ça fait un peu de la peine. Bref je vous épargne la fin qui n'est certes pas jouasse mais sans doute extrêmement réaliste.
(hooo mais regardez comme il est choupi mon Jackounet. On dirait un ado en pleine crise se prenant pour Rimbaud)
Bon si je réutilise les cours de ma prof de média culture et information alias Mery Streep, ben je peux dire qu'ici je suis en présence d'un film traitant l'hypermodernité. Pourquoi ? Pour ce sujet centré certes pas uniquement sur le supermarché mais un peu tout de même. Parce que supermarché=hypermodernité ouais ouais. Tu te coucheras moins bête l'ami. Donc qui dit film avec le mot "Girl" dedans, dit une histoire de nana, donc une histoire d'amour. Forcément, comme si je devais le préciser. En même temps je connais peu de film ou l'amour n'est pas présent. Mais bon on s'éloigne. Bref Love love love, mais love qui se termine pas forcément tout beau tout rose comme dans "Quand Harry rencontre Sally" parce que dans la vraie vie, majoritairement l'amour ne fonctionne pas vraiment. Il y a toujours un élément x ou y pour tout faire foirer. Dans " The Good Girl" c'est le cas et ce qui en fait un film réaliste. Au lieu de m'éterniser je vous laisse avec l'argument le plus important pour le film : JAAAAAAAKE (oui j'en fait un peu trop, mais je suis une amoureuse des poètes maudits.)
cc